| Sujet: It's time for you. } Perséphone. Ven 2 Mar - 20:13 | |
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Carte d'identité Date et lieu de naissance : Le 14 Mai à Jérusalem ▬ Âge : 21 ans ▬ Nationalité : Israélo-grecque. ▬ Sexe : Féminin ▬ Groupe souhaité : Sibyllins. ▬ Don : Déficit neurocognitif ▬ Niveau d'études/Métier/Poste : Sybillin ▬ Autres : Ambidextre. A besoin de lunette pour lire, écrire et observer les petites choses de près. Allergique au foin. Elle souffre d'insomnie.
Description psychologique Perséphone. La reine des morts dans la mythologie. Ton nom et ta personnalité donnent une sorte de paradoxe. Tu n’aimes pas parler du passé. Les morts sont enterrés et l’histoire s’arrête là. Il n’est ni question d’enfer ni de suite. Il ne sert à rien donc de parler du futur puisque la mort n’attend pas. Et toi non plus tu n’attends pas. Puisque le temps court, courrons avec lui. La patiente ne fait pas parti de ton vocabulaire ni de ton comportement. Attendre te fait râler, sans t’énerver. Mais c’est amusant de voir à quel point devant un casse-tête tu y passerais des heures. Juste pour une question de satisfaction. Sentir cette chaleur douce au creux soit lors de la réussite et laisser son égo gonfler. Tu ne pardonnes pas l’échec et rater t’enrage. Surtout les tiens. En conséquence, tu aimes le progrès. Tu passes ton temps à te battre toi-même. Tu n’as rien à prouver à personne, tu ne le fais que pour toi. Si les autres sont plus forts que toi, ce n’est pas un problème, tant que tu avances. La tête dans les nuages. Oui, tu es assez tête en l’air et maladroite. Le regard hagard, tu penses. Tu rêves. Tu t’évades de ta vie. Tu changes, tu bouges, dans ton esprit. Puis, lorsque tu les portes, tu remontes tes lunettes et la réalité reprend son cour. Tu es plutôt douce en soit, calme et posée. Le genre de personne qui n’hurle jamais, qui ne s’emporte jamais. Le genre de personne qui vous balance des horreurs quand elle vous déteste de manière banale, comme elle vous parlerait de la pluie et du beau temps. Perséphone – ou Persé quand on le trouve trop long – c’est aussi le genre de personne qui brûle de motivation. La personne capricieuse qui ruse et trouve tous les moyens pour avoir ce qu’elle veut. Elle pourrait être discrète, mais elle possède un certain charisme. Elle a beau ne pas beaucoup parler, être plutôt du genre à écouter, sa confiance en elle la fait s’imposer silencieusement. C’est aussi une femme arbitre. Une femme qui ne se pose pas du côté bien ou mal, mais au milieu. C’est la femme qui se fiche de l’amour et du sexe, c’est la femme qui ne semble pas s’intéresser à grand-chose. Mais, ça, c’est faux.
Description physique → Localisation de la Marque : Le ψ de Perséphone se trouve à l’intérieur de son poignet droit. Ce n’est ni une bombe sexuelle, ni un mannequin. Ce n’est pas le genre de fille sur qui on se retourne, le genre de fille sur laquelle on fantasme. On la voit et on ne se dit pas « woaw.» C’est juste une jeune femme banale. Une grandeur standard. 1 mètre 78 à plat, avec tout un jeu basé sur ses jambes. Longue, fine mais pas maigre, avec des cuisses plutôt musclées. Son corps entier se base sur un équilibre. Ni trop grosse, ni trop maigre. Un ventre légèrement bombé par la gourmandise, des hanches finement taillés. Des bras qui se tortillent doucement avec des doigts qui s’entremêlent constamment. Une petite poitrine pas inexistante, mais pas luxuriante, sur laquelle retombe lestement sa tignasse ébène et lisse. Ces cheveux semble avoir été dessiné avec de l’encore noire, comme des plumes de corbeaux. Ils en sont si foncé qu’ils en brillent au soleil avec un légers reflet bleu marine. Ils encadrent un visage doux, tout en cachant son grand front avec une mèche minable. Aucune marque du temps, mais aucune marque de rire. Pourtant, lorsqu’elle décide de montrer un petit sourire, on devine la marque de deux petites fossettes aux coins de ses lèvres. Et malgré la blancheur cadavérique de sa peau, ses pommettes sont légèrement rosie, surplombée par ses yeux curieux, mélange de gris acier et d’un bleu océan, par moment caché derrière des lunettes. Si jamais on regarde Perséphone, on la détaille et puis vite elle s’efface de notre esprit. Seul reste cette confiance écrasante qui dégage d’elle. | Histoire Jérusalem. Centre de toutes les communautés religieuses. Ville sacrées source de conflits et de morts. Jérusalem est bien la preuve que Dieu a abandonné les hommes. Eli Jais regardait le monde à sa fenêtre. Au font de lui, il ne croyait plus en Dieu mais s'y forçait. Eli avait peur de finir en Enfer après sa mort, alors qu'il y avait déjà vécu de son vivant. Imane n'était plus à ses côtés pour effacer ses doutes, écarter ses peurs. Et puis il avait peur pour la petite Perséphone, qui venait de faire deux ans. Eli avait décidé de faire croire à tout le monde que sa fille était décédée avec sa mère, lors d'un attentat. C'était mieux ainsi. Sans en être certain, on avait déclaré que la voiture piégée visait sa femme. 12 morts dont 5 corps réduit à un quasi néant. Tout le monde le cru quand il déclara que Perséphone accompagnait sa mère. Imane. Imane Zante. Sa jolie touriste grecque, à la peau laiteuse et aux cheveux clairs, avec des yeux océans. Lui, un jeune homme fougueux qui gagnait sa vie en arnaquant les étrangers. Elle avait été la première riche touriste à s’excuser de l’avoir bousculé. Habituellement, c’était des coups, des insultes, des menaces. Elle visitait les capitales religieuses, de toutes les religions confondues. Elle connaissait l’histoire sur le bout des doigts et parlait le latin, le français, l’anglais, l’hébreu, l’italien et un peu de chinois. Son guide venait d’être renvoyé et Eli se proposa. Ce fut un mois de pur bonheur. Elle lui transmit ses connaissances et il lui apprit à marchander, à escroquer, à fuir la police, et lui montra Jérusalem de fond en comble. Contre toutes ses attentes, elle repartit, malgré l’amour naissant entre eux… Pour revenir trois mois plus tard, avec un ventre légèrement gonflé. Perséphone grandissait et fut un parfait mélange des deux. Grande avec des cheveux corbeaux, comme son père, blanche aux yeux bleus grisé comme sa mère. Perséphone eu du mal avec l’absence de sa mère. Eli n’arrivait pas à lui dire clairement les choses, alors l’enfant passait son temps à l’attendre. Elle n’allait pas à l’école et ne sortait pas de la maison et malgré qu’elle s’entende au mieux avec son père, sa vie ne se déroulait qu’à moitié. Elle rêvait la nuit de l’océan et des forêts. Elle s’imaginait, s’envolant loin de cette ville et de ses bruits d’explosion, partir à la recherche de sa maman. Son père avait beau lui apprendre comment compter, lire, écrire, quelque notion d’histoire, Perséphone ne savait rien de la vie, rien de la maladie, de la douleur, de la connaissance, de la pratique, de la liberté. Et Perséphone ne connaitrait jamais la liberté. Un jour, une marque s’incrusta sur son poignet. La jeune fille, intriguée par cette nouveauté, le garda d’abord pour elle. Elle se la gratta jusqu’au sang pour la faire partir, mais petit à petit, une peur montait en elle. Il fallait qu’elle en parle à son père. ▬ Papaaaaaaa.▬ Qu’est ce qui a ma puce ?▬ Regarde, j’ai quelque chose de bizarre là.Eli se grattait la barbe en observant le bras de sa fille. Il la questionna sur depuis combien de temps était-ce là, et, hésitant entre un mensonge et la vérité, elle choisit la dernière options. ▬ Depuis une dizaine de jours. Le 13. C’est une marque maudite tu crois ?▬ Non Persé, non. C’est… C’est rien. Retourne te coucher, elle partira avec le temps.En sage petite fille, elle retourna dans son lit. Mais les mois passèrent et la marque ne s’effaça pas. Perséphone n’osa pas en reparler et Eli ne reposa pas le sujet sur le tapis non plus. Alors qu’elle était bien visible et bien présente, la marque avait disparu. Elle avait disparu parce que l’on avait cru bon de l’oublier. Je vais dessiner... Un mouton! Comme dans le petit prince. Et puis, je vais faire, euh... Un lac, et y'auras une sirène dedans. Et la sur le rocher, y'a un monstre, une vilaine hyène pas belle. Mais sur son cheval, y’a le prince qui arrive pour sauver sa princesse. Et tout le monde est content !C’est beau, l’innocence d’un enfant. C’est frais, c’est naïf, c’est doux. C’était bien dommage que personne ne puisse profiter du dessin de Perséphone à cet instant. C’était bien dommage que son père ne puisse profiter de Perséphone, une dernière fois. Qu’est-ce que je pourrais faire d’autre ? Un papillon multicolooooooore. Et le soleil avec un petit nuage. Il sera gris, mais il est gentil. C’est pas un nuage qui fait boum, c’est un joli nuage gentil. Voilààààà. Je vais l’accrocher au mur. A côté de celui de papa, de la jolie dame au collier.L’enfant l’ignorait, mais ce dessin représentait sa mère. Eli dessinait très bien, et la petite voulait faire aussi bien que lui. Dans des nuits d’insomnies, les longues et fréquentes nuits froides ou ses paupières restaient désespérément fermée, elle sortait ses crayons de couleur. Alors maintenant, qu’est-ce que je vais faire… L’arbre le plus grand du monde ! Il a un tronc pas très très grand et pas très très gros, comme ça on peut monter en haut. Il a beaucoup de feuille partout partout partout, et les branches on ne les voit pas. Y’a des pommes aussi, et des bananes. Et des petits écureuils tout mignons. Et y’a une fée qui… Perséphone relève la tête. Il y a des hommes en noir à sa fenêtre. OH ! Des monstres ! Elle jette son crayon qui roule et tombe pour se réfugier sous ses draps. Pas sous le lit, parce que sous le lit, y’a le monstre de sous le lit. Elle enfouit sa tête entre ses bras et se roule en boule. Si je fais rien il vont partir.A l’extérieur des draps, les personnes encapuchonnées s’approche. L’un d’eux touche le lit. Je ne suis pas là. Je suis un drap de lit. Je suis un drap de lit. Je suis un drap de lit. pense-t-elle. La main tapote la masse. ▬ Petite ?▬ Je suis un drap de lit. ▬ On ne veut pas te faire de mal. ▬ D’accord j’ai menti. Je suis un matelas. ▬ Tu veux bien sortir s’il te plait. ▬ Je suis un coussin, laissez-moi. On ressent à sa voix brisée et au tremblement du lit qu’elle sanglote. Désespérément. Les sibyllins tentent plusieurs approches, sans succès. Jusqu’à ce qu’un d’eux parle de la marque. Perséphone soulève d’un coup le drap et les submerge de questions. C’est quoi? C’est grave? Je suis malade? Je me suis fait tatouée? C’est une marque maudite? Je vais devenir méchante? C’est qui qui me la faite? Pourquoi c’est une lettre grecque? Pourquoi vous êtes là alors que ça fait longtemps déjà qu’elle est là? On va me tuer? On va m’enlever? Vous aimez les gâteaux? Vous êtes humains? Votre visage est moche et vous le cachez? Je peux aller faire pipi? Je peux dire à mon papa que vous êtes là? On dit que la mort ressemble à une silhouette encapuchonnée. Qu’en réalité c’est un squelette et qu’il n’est visible que par ceux qui vont la rejoindre. Il parait que c’est une femme qui fait peur mais qui n’est là que pour nous accompagner, nous détacher de notre corps. Elle porterait le nom de faucheuse à cause de la faux qu’elle se trimbalerait pour en finir. Eli Jais entra dans la chambre de sa fille. Elle était vide, comme la maison, le lit défait et juste un dessin sur la table. Un dessin non fini, qui représentait trois personnes encapuchonnées, avec un petit cœur dans le coin gauche que ses larmes effacèrent en s’écrasant dessus. ψ Elle a grandi la petite Perséphone. Maintenant, il y a une jeune femme qui vient de finir ses études de Sibyllins il n’y a pas si longtemps que ça. C’est à elle d’aller chercher c’est enfant dans leur maison. Et même si elle est heureuse d’offrir un foyer qui leur plait, elle aimerait bien, au moins une fois, s’envoler, s’en aller, respirer, libre. |
Derrière l'écran Prénom/Surnom : Pandore ▬ Âge : 16 ▬ Comment avez vous connu le forum : Vive les partenariats. ▬ Qu'en pensez vous : Je l’aime ** ▬ Suggestions : xxx (non mais vos xxx sont très suggestif. /meurt) ▬ Code : [It's Ok ! - Ayden]
© Mystic Hall |
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Ayden Y. Ayling Co-fondateur et Directeur
| Sujet: Re: It's time for you. } Perséphone. Sam 3 Mar - 18:27 | |
| Bienvenue Perséphone !
Voici tes propositions de dons : (Et j'avoue que j'ai galéré à trouver !) • Souvenir mortel : Si jamais t'as envie d'être sadique avec ton personnage ... J'ai trouvé que le contexte pouvait être intéressant pour créer un paradoxe. Ce don permet de faire revivre à une personne son pire souvenir. Pour quelqu'un qui n'aime pas le passé, ça peut être sympa à développer. (Non, ce n'est pas du tout tordu comme idée.) • Surcharge : Pour le côté impatiente. Cela te permet de recharger le don des autres et donc d'éviter d'attendre que cela ne se fasse naturellement. Pratique mais à utiliser avec modération ... • Déficit neurocognitif : (Je tiens à préciser quand même que le nom n'est pas de moi.) Pour le côté « Je-déteste-les-échecs ». Si jamais tu as envie de te venger sur un innocent (hum ...), cela te permet de fermer temporairement les fonctions supérieures du cerveau. De quoi transformer quelqu'un en légume pendant un moment ...
Voilà ! J'espère que ça te convient et si jamais tu as des questions, n'hésite pas !
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Cersei-Sappho Hamilton Exclu
| Sujet: Re: It's time for you. } Perséphone. Sam 3 Mar - 21:15 | |
| Bienvenue !!! ^o^ Je n'ai pas eu le temps de tout lire, mais de ce que j'en ai lu, c'était prometteur ! Bon courage pour l'histoire. |
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Ayden Y. Ayling Co-fondateur et Directeur
| Sujet: Re: It's time for you. } Perséphone. Ven 9 Mar - 23:22 | |
| Identité : • Oki doki !
Psycho : • C'est bien écrit. Attention cependant à quelques fautes qui traînent. Une bonne relecture devrait permettre de les effacer.
Physique : • Idem. Cependant, il reste encore beaucoup de fautes d'accords, notamment avec les -s. Tu en oublies certains et tu en mets lorsqu'il n'en faut pas. Relis bien ! (Tu peux éventuellement utiliser BonPatron mais je ne suis pas certain que ce soit très utile.)
Histoire : • De même pour les fautes. Accords à surveiller. Conjugaison, également. • Pour Imane, le fait qu'elle parle autant de langue est un peu surréaliste. Presque 6 langues, ça fait ... beaucoup. (Mais c'est un détail qui n'a pas beaucoup d'importance sur l'histoire.) • Je remarque au passage ; On utilise « malgré » avec un nom et « bien que » avec un verbe. So « bien qu'elle s'entende » et non « malgré qu’elle s’entende ». • Pour l'apparition de la Marque, celle-ci n'apparait pas tout bonnement un jour avec une petite douleur passagère. Non, c'est une terrible souffrance qui dure pendant une semaine. Tu peux lire l'histoire et le contexte pour comprendre un peu mieux, si jamais tu te poses des questions. • A la fin de l'histoire, tu passes au présent de narration. C'est un peu ... étrange, puisque tout le reste de ton histoire était au passé. Faute d'inattention ? • De plus, les Sibyllins n'arrivent pas comme ça en lui demandant de sortir gentiment de sous son lit. C'est un peu plus ... brutal. Ils kidnappent vraiment. Ils ne laissent rien, à part un vide.
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