Ah...Only to you will it reach
The sound of this wind. Feeling heart.
You don’t have to cry anymore, just stay as you are
Look at the skies. Ah, My sweetest love
Blue. That blue sparkling tear that slowly trails down your cheek
Rise. Did you know? The light that leads us to tomorrow
Truth. You probably still don't know yourself that well
Those tears will definitely become a rainbow that guides you.
If you get cold on your long journey
Ah, I’ll warm you up with a song
All the things you wish for might not become stars
But if you have a dream you believe in
There will be thousands of the brightest shining jewels in the night sky
Il fut habité par une grand tristesse… il s’était enfermé dans un monde silencieux régit par ses cauchemars… Il se laissa bercer par la chanson de son enfance, imaginant la voix de sa mère envahir la pièce…ses bras l’envelopper. Le passé il le regrettait tant…TELLEMENT !
Sa mâchoire se crispa et il se leva. Machinalement il se prépara et regarde par la fenêtre l’aube. Sa vie était monotone et rythmé par les mêmes actions chaque jour. Orion s’approcha de sa fenêtre et posa sa main sur le carreau froid fixant le réveille de l’astre chaleureux. Il ne vivait que pour une seul chose…Eridan…Il tenait le coup pour Eridan mais lorsqu’il voyait les beauté que nous offrait la nature…aussi simple qu’un lever de soleil il ne voulait que cela ne prenne jamais fin…
Une nouvelle journée commençait.
Il ouvrit sa fenêtre et vit gavroche. Depuis son arrivée ce petit fantôme le suivait presque partout durant la journée il était plein de vie même si l’expression n’était pas très approprié pour un mort. Il l’avait appelé ainsi à cause de sa petite casquette gavroche et de ses haillons qui lui donnait des aires de personnage du roman de Victor Hugo.
Orion descendit dans le rejoindre son bloc à dessin sous le bras et il marcha avec celui. Il avait envie de musique, de beaucoup de musique… Personne ne remarquerait son absence … c’était pas vraiment la première fois qu’il s’éclipsait… personne ne le remarquerait…
Ce fut ainsi qu’il se retrouva, à son grand bonheur, dans un salle de musique inoccupé à pianoter avec dextérité sur l’instrument imposant aux touches en ivoire blancs et noirs.
C’était bon tous ses petits frissons, il se stoppa et regarda tout autour de lui, quelque peu méfiant et recommença à jouer se laissant aller à la chansonnette.
Il avait une voix chaleureuse, suave et envoûtante, une voix d’une rare clarté semblable à du cristal sous l’eau pure d’une cascade.
Le petit gavroche était assis un peu plus loin et souriait, il adorait l’écouter il l’avait souvent complimenté sur ses chansons, parfois même il dansait mais aujourd’hui le jeune fantôme paraissait bien calme… et cela était si reposant…
Mozart manquait à Orion… Eridan était partit avec son cœur…